L’hypnose, les vies antérieures, on en parle, ça nous intrigue… Est-ce que tout cela existe vraiment ? Si cela est le cas, comment pourrions-nous imaginer le fonctionnement de ce cycle de vies qui se répète sans pour autant revivre les mêmes expériences ? Peut-on avoir accès à ces données et comment le pourrait-on ? Tout ceci c’est ce que Bernard Werber nous explique à travers une histoire pleine d’actions. Le roman est captivant, on ne se douterait jamais de la fin et on en découvre toujours davantage en matière de spiritualité, comme dans ses autres œuvres.
Que l’on soit sceptique ou non, ce livre nous invite à envisager l’existence d’un monde connecté à des plans invisibles.
À travers le personnage du professeur d’histoire qui se fait hypnotiser, on se pose des questions sur la spiritualité, tout en apprenant à relativiser sur bien des situations car le récit se veut toujours positif. On se questionne également sur le destin et le libre-arbitre, peut-on vraiment choisir les aventures qui nous arrivent dans notre vie ?
Et vous, vous y croyez aux vies antérieures ? Pensez-vous qu’il faille y avoir accès ?
Extraits :
« Quand tu ne sais pas quoi faire, souris, les gens auront l’impression que tu as compris quelque chose qu’ils ignorent. »
« Ainsi la roue tourne. Parfois, il suffit d’attendre et la situation se transforme. Ce qui est en bas monte et ce qui est en haut tombe. »
« Tous ces gens ont l’air si tranquilles et si heureux. Un monde sans la moindre peur. On dirait que toute leur attention est tournée vers la délicatesse et l’appréciation des plaisirs. »
« Je vois bien que je suis empêtré dans les vieux réflexes de mon époque où tout est punition, récompense, argent, et où l’on vit dans l’envie d’avoir ce qu’on n’a pas et la peur de perdre ce qu’on a ».
Autodiktat de la rime 